Le projet du PNUD fait partie d'un projet multidonateurs conjoint avec la FAO, l'ONUDI, etc. Le projet global travaillera de manière participative avec l'ensemble des parties prenantes dans les paysages cibles, et renforcera leurs capacités pour permettre une participation complète et informée de toutes les parties dans les plateformes multi-acteurs au niveau du paysage (LLSP). Les cadres/plans de gestion intégrée du paysage (ILMP) à développer par le LLSP seront adaptés aux droits et aux préférences de développement de toutes les parties prenantes. Comme le PNUD est l'agence d'exécution pour cette phase de planification, il établira un plan d'engagement des parties prenantes (SEP) pour chacun des trois paysages cibles comme première mesure de mise en oeuvre pour assurer que le projet suit une approche des droits de l'homme. Les objectifs des SEP sont de s'assurer que les droits des personnes vulnérables (utilisateurs informels des terres, femmes, enfants, travailleurs informels, etc.) sont pris en compte dans le développement des ILMP et que leur respect est assuré par un suivi participatif et un système proactif de gestion des griefs. Le PNUD a établi un Cadre de gestion environnementale et sociale (CGES) pour guider ce processus et inclut des termes de référence pour les SEP spécifiques au paysage et les évaluations d'impact environnemental et social/plans de gestion (ESIA/ESMP) qui doivent être développés avant la mise en oeuvre pour assurer la conformité totale avec le cadre des droits de l'homme du PNUD.