Signature de deux documents de projets entre l’ANME et le PNUD

28 novembre 2019

Cérémonie de signature de deux accords entre Mme Alissar Chaker, Représentante Résidente Adjointe du PNUD et M. Riadh Ben Rejeb, Directeur Général de l'ANME

L’Agence Nationale pour la Maitrise de l’Énergie (ANME) et le PNUD ont organisé jeudi 28 novembre, un atelier de travail à Tunis, sur le démarrage de l’étude « simulation des émissions de GES dans le secteur de l’énergie en 2050 en Tunisie ».

Cette étude s’inscrit dans le cadre du projet « Appui à la tarification du carbone pour la mise en œuvre de la Contribution Nationale Déterminée (CDN) et de la transition carbone en Tunisie.

Elle vise à mettre à jour les objectifs énergétiques et climatiques de la CDN en 2030 et à fixer des objectifs ambitieux de la Stratégie de Développement Bas Carbone (SNBC) en 2050.

Cet atelier a été l’occasion de présenter les principaux résultats de la première phase de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) du secteur de l’énergie (la construction du scénario socio-économique et des scénarios énergétiques sur la politique d’atténuation) et de donner un aperçu sur la modélisation comme outil principal pour la projection globale et sectorielle des émissions de GES aux horizons 2030 et 2050.

En marge de cet atelier les deux parties ont signé deux documents de projets :

Le premier projet concerne un « Appui à la tarification du carbone pour la mise en œuvre de la CDN et la transition bas carbone ». Ce projet est mis en place avec l’appui de la Banque Mondiale dans le cadre de l’initiative Partnership for Market Readiness (PMR).


Le second projet concerne l’« Appui à la création d’un environnement favorable à l’investissement privé pour mettre en œuvre et mettre à jour la CDN dans les secteurs de l’énergie et des procédés industriels » mis en place dans le cadre de l’initiative Nouvelle Contribution Nationale Déterminée (NCDN).

Dans le cadre de ces deux projets, le PNUD appuiera la Tunisie pour renforcer sa politique d’atténuation, de révision à la hausse de l’ambition climatique et de recours à la tarification du carbone pour mettre en œuvre sa NDC.