En collaboration avec la Commission Nationale de Lutte Contre le Terrorisme et financé par le gouvernement japonais, le projet s'inscrit dans le cadre d'une approche de développement pour la prévention de l’extrémisme violent.
Cette intervention spécifique au contexte de la région frontalière entre la Tunisie et la Libye repose sur une mobilisation des entreprises, des jeunes et des femmes pour améliorer la sécurité humaine dans les Gouvernorats de Médenine et Tataouine.